Tant qu'elle voudra
Je n'osais pas l'approcher, c'est
elle qui est venue, s'écartant de ses amies qui la regardaient m'allumer. Quand j'ai senti sa jambe contre mon sexe et qu'elle
m'a embrassé avec encore un peu de vin dans la bouche, je lui ai pris les seins déjà durcis par l'eau froide. J'avais envie de les sucer mais elle continuait de m'embrasser, c'est après sur le lit que j'ai pu jouer avec la langue autour des aréoles, la peau encore
mouillée. Elle a voulu que je la déshabille, vite, et c'est là que je l'ai sucée
plus longtemps. Elle se donnait, les deux seins dans ses mains qu'elle offrait. Elle n'avait pas peur de le le dire : ce qu'elle voulait là maintenant c'était seulement se faire prendre par une queue en béton et qui l'aurait bourrée d'entrée. Je voulais juste attendre un peu, je
lui ai dit de me branler parce que ses mains à elle sont précises et
mécaniques, comme cette putain vénitienne qui me branlait près de la
tombe d'Ezra Pound. Je l'ai sucée encore, ses seins étaient lourds
comme une offrande sexuelle entre ses doigts, ma queue s'arquait contre
sa paume et ça la passionnait d'observer le pouvoir d'une seule main
sur le sexe d'un amant qui la veut. De l'autre main elle ne tient plus et elle se branle en
suivant le même rythme, c'est une experte et elle le sait, pour commencer elle veut mon
sperme sur sa peau, ou peut-être qu'elle ne sait plus vraiment ce qu'elle veut. J'entre mes doigts pour entrouvrir sa chatte déjà
bien écartée, bien trempée, bien gonflée sous ma main et j'aime ça : son
désir, son attente. Il fait sombre mais je peux deviner la rousseur
encore trempée de ses poils, je pourrais lui lécher la toison si j'avais
plusieurs bouches et je pense à cette idée, qu'il faudrait la baiser à plusieurs. Elle aimerait, elle
aime ce qui est seulement sexuel, sans aucun sentiment, à mille lieues de cette
tendresse qu'il y a dans un couple. Alors je veux bien être ce type venu seulement pour la baiser sans rien dire, je veux bien la bourrer tant qu'elle voudra, qu'avec sa langue elle continuera de se
lécher les lèvres en souriant de me voir la limer.
C'est le cul maintenant qu'elle me donne. Une croupe aussi blanche que gironde, une masse à pétrir des deux mains et des lèvres. Je lui lèche le cul qu'elle a cambré au bon moment pour que mes
mains l'empoignent, je la lèche dans le pli de la raie et ce sillon semble s'ouvrir à son tour. Je veux lui
apprendre aussi ce plaisir, juste un doigt puis la queue toute entière, encastrée
dans son cul resté vierge. Une offrande qu'elle me fait, avec par devant mes trois doigts
qui remuent dans sa chatte. Pour caresser la fine paroi de nerfs où vient cogner ma
queue-butoir. Dans les cris
qu'elle me donne il y a mon prénom, plusieurs fois, comme un rythme pour la foutre. Ma douce putain est dans la
fièvre, ses mains se révulsent quand son ventre est secoué par les spasmes.